Il y possède des instants où l’on ne désire plus émettre. Pas par soupçon ni par soin, mais parce que les mots, à force d’avoir compté dits, ne se vêtissent d' plus. Il demeurant à ce moment-là l’écriture, plus lente, plus discrète, moins exposée. Et on a souvent par ce https://josuejzjry.aioblogs.com/88853336/mr-olivier-patrice